Valentin CAMUS

Étudiant en troisième année de Licence de Lettres modernes à l’UCLy, Valentin Camus est un jeune homme ouvert et engagé. Après avoir été vice-président du BDE de la Faculté des Lettres, il a été l’un des créateurs du journal des étudiants de l’UCLy, L’Apostrophe.

photo de valentin camus

Quel parcours suis-tu à l’UCLy ?

Après avoir obtenu mon bac ES au lycée Saint-Pierre de Bourg en Bresse, je souhaitais devenir journaliste. J’ai choisi de commencer par une Licence de Lettres modernes. Parmi les 4 mineures proposées à l’UCLy, j’ai choisi « société et politique », pour m’ouvrir sur le monde d’aujourd’hui.

Le monde culturel a été une vraie révélation pour moi, grâce aux enseignements et à mon parcours associatif au sein de l’UCLy. Avant, j’allais très peu à l’opéra ou au théâtre et j’ai pu découvrir tout cela grâce à l’UCLy. C’est ainsi que j’ai décidé de me tourner vers le domaine du management culturel et la gestion d’évènements et de manifestations.

Je suis parti 4 mois à Regina, au Canada anglophone dans la province de Saskatchewan grâce à Erasmus. J’y ai suivi des cours de littérature, de photographie et de théâtre car là-bas aussi, les universités sont très ouvertes sur ce type d’options.

Pourquoi avoir choisi d’étudier à l’UCLy ?

Une de mes amies est venue aux Journées Portes Ouvertes de l’Ucly pour se renseigner sur la licence de psycho et elle m’a conseillé de me renseigner sur la licence de Lettres modernes. Elle savait que je cherchais une formation qui pourrait m’enseigner la rigueur de l’écriture, avant le master de journalisme. Je n’avais pas envie de m’enfermer.

A la base, je ne suis pas très travailleur, et elle pensait qu’étudier à l’UCLy me permettrait sûrement d’être mieux suivi. Elle avait raison ! Je ne regrette absolument pas car le cadre est très familial, on se connait tous, l’administration est vraiment au top ! Pour résumer, ici, c’est un peu comme au collège ou au lycée, avec un encadrement très présent, et plein d’amis !

Qu'apprécies-tu le plus à l'UCLy ? Comment décrirais-tu ton université à tes amis ?

L’ambiance est familiale, le personnel administratif connait tous les étudiants et fait vraiment attention à nous, même la directrice nous connait bien ! L’administration a une véritable bienveillance pour les initiatives étudiantes. Les cours sont très variés. La transversalité est tellement grande que tous les sujets se recoupent, les professeurs sont de grande qualité, et même sans être passionné par la littérature, on s’y plonge facilement.

A l’UCLy, personne n’est délaissé. Certains étudiants de lettres arrivent avec un bac scientifique, mais en première année, on reprend tout à la base, en profondeur, les professeurs nous enseignent la méthodologie universitaire. Tout le monde est sur le même pied d’égalité, et pour réussir, il suffit d’être un peu curieux, même si la littérature n’est pas au départ ce qui nous fait vibrer le plus. J’ai appris ici à utiliser mes connaissances littéraires.

Toutes les sorties et les spectacles sont un formidable bonus dans cette formation ! Un enseignement humain, permettant aux étudiants de développer vraiment leur esprit critique.

Pour terminer, je voudrais vraiment parler des campus, car ils sont magnifiques et tellement bien situés, en plein cœur de la ville ! C’est un argument non négligeable pour les étudiants.

Comment s’est passée ta rentrée à l’UCLy ?

J’étais un peu stressé en arrivant mais cela n’a pas duré ! Dominique Vinay, notre directrice et doyenne du Pôle, est venue nous présenter la licence. Ensuite, nous avons fait un jeu, qui nous a permis de découvrir Lyon. Il y avait aussi des ateliers de présentation. Après, nous sommes partis au WEI (Week-End d’Intégration) ! Cela nous a permis très vite d’apprendre à nous connaitre, et de nous faire des amis. Le monde de l’enseignement supérieur est très différent, mais le côté familial de l’UCLy permet de s’intégrer très facilement, sans parler de nos parrains et marraines qui sont aussi là pour nous y aider !

En dehors de tes études, as-tu une passion, un hobby, un talent ?

J’ai été vice-président du BDE au cours de ma 2ème année de Licence avec lequel nous avons organisé de nombreux évènements, c’est une période qui compte beaucoup pour moi.

En parallèle j’ai été président de l’Apostrophe, le journal des étudiants de l’UCLy, à partir de janvier 2018. C’était mon bébé, et ça me fait mal de le lâcher. Quand je suis arrivé, tout était à faire ! Nous avions de beaux projets dont le Projet BAYARD. L’aumônier de l’UCLy de l’époque, Arnaud Alibert, était journaliste à la Croix, et grâce à lui, nous avons obtenu que notre journal soit tiré à 2 000 exemplaires, et distribué gratuitement à tous les étudiants de l’UCLy. Ce partenariat avec Bayard nous a poussé à gagner en qualité. Au commencement, nous n’étions qu’une petite vingtaine d’étudiants, tous issus de la Faculté de Lettres. Aujourd’hui, il est ouvert à tous les étudiants.

Un trait de caractère (qualité ou défaut) qui te caractérise plus particulièrement ?

Je crois que c’est la curiosité qui me caractérise le mieux. Je n’étais pas destiné à ces études, je ne suis pas littéraire à la base. J’ai tiré le maximum de tout ce que l’on m’a enseigné ici, et la transversalité est très importante pour moi. Dans ma vie future, je sais que mes connaissances variées sur de nombreux sujets m’apporteront beaucoup.

Et pour finir, un petit portait chinois !

  • Si tu étais une couleur ?

    le bleu. C’est une couleur reposante, chargée de symboliques en littérature : celle de la pensée et de l’esprit.

  • Si tu étais un animal ?

    Je serais une baleine, parce qu’elles me fascinent. C’est un animal qui a une force tranquille, et pour la symbolique, quoi de plus beau que le chant de la baleine ?

  • Si tu étais une chanson ?

    « Dust in the wind » de Kansas, c’est ma chanson préférée, elle arrive à mélanger plusieurs genres de musique. Elle n’est pas très récente mais elle est intemporelle. Ce groupe a vécu beaucoup de choses, c’est le style de musique que j’écoute.

  • Si tu étais un sport ?

    La procrastination ! Je suis médaille d’or toutes catégories confondues de ce sport que je pratique bien souvent ! Je pratique également volontiers le marathon… de séries !

  • Si tu étais un plat ?

    Ma mère est italienne, alors ce seront des pâtes : les « orichettes »

  • Si tu étais un film ?

    J’aime beaucoup le cinéma, et j’y vais souvent. « Shaun of the dead » le film est le mélange parfait entre le cinéma et la musique. Il est composé comme une partition. Ce mélange des arts me plait beaucoup.

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