Alexandre Briaudet, engagé dans l’écriture

PORTRAIT

Alexandre Briaudet étudie en deuxième année de Licence de Lettres modernes à l’UCLy. Passionné de littérature, il écrit à ses heures perdues des nouvelles, et s’engage pleinement en tant que président dans L’Apostrophele média étudiant de l’UCLy. Il témoigne de son parcours.

Quel bac as-tu fait ? Et dans quel lycée ? 

J’ai été élève au lycée du Parc à Lyon. J’ai passé un Bac scientifique… Et j’estime que j’ai eu la chance de me rendre compte que je n’aimais pas les sciences (rires). C’est un bon point pour commencer ses études puisque je savais ce que je ne voulais pas faire !  

Par la suite, j’ai suivi à l’université Lyon 3 des cours de droit et de sciences politiques. Mais, j’ai rapidement arrêté mes études car je n’aimais pas le droit.  

Dès lors j’ai travaillé comme livreur, agriculteur… Pendant cette période, j’ai développé un goût très prononcé pour la littérature. C’est ce qui m’a conduit à entrer en Licence de Lettres pour améliorer mon français.  

Comment as-tu connu l’UCLy? Qu’est-ce qui t’as incité à y étudier? 

Ma sœur est en 3e année de Licence psychologie à l’UCLy. Elle m’a raconté comment les cours se passaient. Les étudiants bénéficient d’un accompagnement tout au long de leur cursus. Cela m’a convaincu car j’avais besoin de ce suivi pour ne pas décrocher.  

Parallèlement, le programme de Licence de Lettres modernes proposé par l'université m'a vraiment plu. Le journalisme m’intéresse beaucoup. Le fait qu’il y ait quatre mineures (disciplines académiques secondaire) m’a également motivé pour postuler à l’UCLy. J’ai pris une mineure en science politique en plus de mon cursus de majeures. 

Quelles ont été tes premières impressions de l’UCLy? 

Lors de ma rentrée universitaire en 2020, j’ai été assez impressionné par l’architecture conique des amphithéâtres du campus de Carnot. Et puis, j’ai été heureux de retrouver un climat universitaire en rencontrant d’autres jeunes, c’était un super moment.  

Comment décrirais-tu ton université à tes amis? 

La vie étudiante permet de créer des liens notamment grâce au BDE (Bureau des étudiants) et dans mon cas grâce aussi à L’Apostrophe, le média associatif (pure player et print) dont je suis le président.  

L’UCLy offre réellement un accompagnement qui permet de s’épanouir à son rythme. Cela est possible parce que c’est une université à taille humaine, où les professeurs et les responsables pédagogiques connaissent chacun de nous. C’est appréciable, nous ne sommes pas des numéros. Dans un plus grand établissement, on peut être laissé pour compte, du moins c’est ce que j’ai pu vivre auparavant.  

À l’UCLy, j’ai pu plus facilement me faire une place et réaliser mes ambitions. On peut s’engager dans différents projets, associatifs, culturels, etc. Nous sommes même encouragés et aidés pour le faire. Petit avantage : l’engagement associatif donne des points bonus pour nos études.  

Par ailleurs, il faut souligner que la culture a une place importante à l’UCLy. Par exemple, on peut jouer du piano dans le hall des campus et il y a toujours des expositions (peintures, photographies…) à voir. 

En Lettres modernes les sorties culturelles (théâtre et musées) font parties du cursus d’études. Elles sont obligatoires et gratuites. Pour ma part, j’apprécie beaucoup le musée des Beaux-Arts et j’ai aimé aller voir Médée aux Célestins. Nous pouvons aussi avoir accès à des places à tarif réduit ou bénéficier régulièrement d’invitations. 

Et puis enfin, la Formation Humaine permet de choisir un enseignement qui nous ouvre sur le monde. J’ai choisi de suivre un atelier d’écriture à raison de 2 heures par semaine. 

En dehors de tes études, as-tu un ou des hobbies ? 

Je joue du piano classique (diplômé du 2e cycle du Conservatoire de Lyon) et je suis un grand amateur de littérature. Pour l’heure, mon maître en la matière est Dostoïevski. 

Quel trait de caractère te caractérise plus particulièrement 

Je vais répondre par un défaut, je suis têtu, et par une qualité, je suis déterminé. 

 « C’est une université à taille humaine, où les professeurs et les responsables pédagogiques connaissent chacun de nous. Nous ne sommes pas des numéros » 

Et pour finir, un petit portait chinois! 

Si tu étais une couleur?  

Le rouge parce-que cette couleur est très forte symboliquement. 

Si tu étais un animal? 

L’Ours parce qu’il représente la force tranquille. 

Si tu étais un morceau de musique?  

Une Nocturne de Chopin. 

Si tu étais un sport?  

Le vélo ou la boxe. Le vélo représente pour moi l’indépendance. J’aime la boxe pour le côté combatif et noble à la fois. 

Si tu étais un plat? 

Le tajine de ma mère. 

Si tu étais un filmou un livre? 

Matrix parce que ce film fait réfléchir à sa condition et au fait d’essayer d’en sortir.  

Pour le livre je choisirais L’Idiot de Dostoïevski parce que le personnage principal paraît idiot aux yeux des autres mais ne l’est pas, bien au contraire. Il n’est pas perverti, il est intègre et bon.