Dans le cadre du travail philosophique mené au CIE depuis plusieurs années sur l’ostéopathie, Jean-Marie Gueullette a réalisé une nouvelle édition de cet ouvrage, qui en constitue la première édition critique et permet de mieux comprendre quelles étaient la culture et les références de A.T. Still. Sous la direction d’Isabelle Dujet, enseignante à l’ESTRI (UCLy) les étudiants en traduction de l’ESTRI ont révisé la traduction, en cherchant à ce que le texte français soit marqué par la même diversité de styles et de vocabulaire que l’original.
À l’occasion de cet événement éditorial, des universitaires et des ostéopathes ont croisé leurs regards sur un texte aussi inclassable que son auteur. Au-delà du milieu ostéopathique, cette journée peut être une source de réflexion plus large sur la tradition, le rapport aux origines, ou la place donnée à un fondateur dans une communauté humaine.
La place du fondateur
Alain Andrieux : La place des origines dans mon parcours d’ostéopathe.
Victor LOPEZ : « La place de Still dans ma découverte de l’ostéopathie. »
Le contexte des origines
Tangi VILLERBU : « Le contexte dans lequel a vécu A.T. Still. »
Un texte, et les enjeux d'une traduction
Pierre TRICOT : « Pourquoi traduire Still ? »
Jean-Marie GUEULLETTE : « Les enjeux de l’édition critique de ce texte. »
Dominique VINAY : « Approche littéraire du texte de l’Autobiographie. »
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