Les témoignages
Emma GOUNOT
Fondatrice de l’ISF (Institut Société & Famille)
je voudrais d’abord noter que ce n’est pas par hasard que le projet d’un Institut Société et Famille a pu germer et mûrir à Lyon : le terrain était préparé.
Mathilde Favre
Étudiante en master 2 de comptabilité-gestion à l'ESDES et auteur d'un roman de science-fiction
J’adore lire. Imaginer des histoires est donc venu naturellement, il n’y avait qu’un pas à franchir pour que je me mette à en écrire…
Alexandre Chabardès
étudiant du Master MEEF Philosophie
Ce master permet ainsi d’assimiler, d’incorporer une manière de faire et une manière d’être qui au bout du compte est ce qui, à mon sens, est le véritable propre du professeur, ici de philosophie.
Louise B.
Étudiante à l'IEP de Lyon
J’ai appris à cultiver ma curiosité intellectuelle, à gérer la pression et l’intensité de mon cursus, à travailler de façon efficace et approfondie, souvent en groupe, mais surtout… à aimer travailler !
Pauline, 20 ans
Étudiante Master Droit privé
Malgré l’option droits de l’enfant, que j’affectionne particulièrement, les cours restent généraux et très complets, ce master étant avant tout un master droit privé.
Yuna Caro
étudiante du Master MEEF Philosophie
Cette immersion en établissement s’est révélée, pour ma part, riche et déterminante. J’ai pu me représenter de facto ce que signifie « être devant une classe ».
Marc Lunatti
Étudiant du diplôme universitaire Philosophie de l'Ostéopathie à l'UCLy
Ce DU m’a permis de conceptualiser et de poser des mots sur ce que je ressentais depuis longtemps dans ma pratique ostéopathique.
Franck BERTUCAT
Chargé de mission pédagogie, Docteur en Sciences de l'Éducation
Un jour, je suis tombé sur un livre qui m’a fait réfléchir sur l’importance d’améliorer notre façon d’apprendre. J’ai alors écrit un cours pour « Apprendre à apprendre ».
Mme Giacona
Témoignage de Mme Giacona, « famille d’accueil » depuis 4 ans pour l’UCLy
Voilà maintenant plus de 4 ans que nous sommes « famille d’accueil » pour l’UCLy.
Nous avons réalisé il y a peu de temps que près de 10 étudiantes de West Point sont venues partager notre vie de famille : Alyssa, Emma, Claudia, Nette, Thérésa, Emily, Maria, Kate, Hannah …
Comment vous partager la grande joie que nous avons eue à rencontrer, connaitre, apprécier chacune d’entre elles ?
Les premières fois, nous avions un peu de crainte, en nous demandant si elles allaient bien trouver leur place dans la famille, si elles se sentiraient bien dans la maison. Puis nous nous sommes rendus compte que les choses se faisaient très naturellement, sans heurt, avec une grande confiance.
Je dois même avouer que leur droiture, leur éducation, leur honnêteté nous ont à chaque fois, impressionnés. Toutes, absolument toutes ( !) nous ont touchés !
Nous partageons de bons moments ensemble. Il faut dire que j’ai toujours fait le choix d’être avec elles, comme j’aimerais qu’une famille soit avec nos enfants s’ils étaient à l’autre bout du monde. La maison n’est donc pas un hôtel. C’est la maison. Tout simplement.
Nous avons maintenant nos petits rites : des ballades, des visites, la « to do list » que nous leur proposons d’écrire à leur arrivée, le traditionnel plateau de 20 fromages dont elles doivent retrouver les noms (grand moment !), les moments de cuisines familiales ensemble avec les incontournables cuisses de grenouilles, escargots (vidéo à l’appui) les discussions sociétales et politiques, des vrais et beaux moments de complicité etc….
Je ne me fais pas non plus une obligation de m’occuper d’elles ! D’abord parce qu’elles sont très autonomes, qu’elles profitent de leur séjour en Europe pour beaucoup voyager, et qu’elles ont leurs propres activités avec l’Université. De mon côté, j’ai aussi ma vie et mon travail.
En tout cas, avec chacune d’entre elles, nous avons tissé de solides liens d’amitié, de fraternité, d’affection. Nos enfants ou bien, une fois qu’ils ont quitté la maison, nos neveux, venus passer une année d’étudiant à la maison, ont également vécu ces belles rencontres.
Nous continuons avec la plupart d’entre elles de communiquer, et de partager les moments forts de nos vies. Nous nous enrichissons mutuellement de nos différences culturelles.
Lorsque mon mari part pour des semaines entières, je suis heureuse que notre maison soit habitée et que je ne sois pas seule.
Lorsque tout le monde est là, nous formons une joyeuse et improbable petite communauté.
Nous nous rappelons alors que nous sommes tous des frères et des sœurs en humanité.
Et vivre cette fraternité nous procure une grande grande joie !