Des origines à la transformation
En 1968, Marius Perrin fonde l’École supérieure des secrétaires traductrices (ESST). L’objectif est alors de former des professionnelles capables d’assurer, avec rigueur linguistique et efficacité administrative, des fonctions de traduction et de secrétariat multilingue.
Vingt ans plus tard, l’évolution du monde économique, politique et culturel impose de dépasser ce modèle. Sous l’impulsion de Patrice Carlen, l’école change d’identité et devient, en 1990, l’ESTRI (École Supérieure de Traduction et Relations Internationales).
Une ouverture sur les relations internationales
Avec ce nouveau nom, l’ESTRI élargit sa mission. Il ne s’agit plus seulement de former des traducteurs, mais des professionnels des langues et de la communication interculturelle, capables de travailler dans le contexte mondialisé des relations internationales.
Les cursus intègrent alors :
- la maîtrise de plusieurs langues vivantes,
- des enseignements en économie, droit et relations internationales,
- une formation aux techniques de communication et de gestion de projet.
Répondre aux défis de la mondialisation
Au fil des années, l’ESTRI s’impose comme une réponse aux besoins croissants des entreprises, ONG, institutions et organisations internationales qui recherchent des profils polyvalents, à la fois linguistes, communicants et ouverts au monde. Elle prépare ainsi ses étudiants à des carrières dans la traduction, la communication multilingue, la coopération internationale et la gestion de projets internationaux.