Sémiotique et Bible n°88 - Décembre 1997

Bulletin d'études et d'échanges publié par le Centre pour l'Analyse du Discours Religieux

Sommaire de la revue n°88

Caïn et Abel, l’homme et son frère (1) – Jean Calloud

Jean CALLOUD (CADIR-Lyon) reprend en cet article la lecture du chapitre 4 de la Genèse en son entier et réfléchit à cette occasion sur ce que pourrait être « une proposition interprétative acceptable ». Cette « acceptabilité » s’entend ici au sens ou l’interprétation doit d’abord s’interroger sur « ce qui est venu là s’écrire » - ce qui suppose que le texte dans sa formulation exacte fait loi et demande d’être décrit au plus juste -, au sens aussi où la lecture proposée ne peut faire fi de ce qui ailleurs s’entend et se dit aujourd’hui. Cet article annonce une suite en laquelle l’auteur continuera la réflexion ici commencée.

Jacques Geninasca : un modèle de sémiotique littéraire (3) – Pierre Sadoulet

Pierre SADOULET poursuit dans un troisième article la présentation du modèle de sémiotique littéraire de Jacques Geninasca. Le premier exposé a présenté la notion de discours pour montrer comment le sémioticien suisse pouvait concevoir l’approche discursive d’un texte-objet. Le deuxième a illustré comment on pouvait mener concrètement une lecture à l’aide de ces principes méthodologiques. Puis il a tenté d’analyser tout ce qui fait un sujet du discours dans ses relations avec les valorisations et les valeurs en montrant comment Geninasca mettait en relation ce qu’il appelle la « rationalité mythique » avec le croire. Cet article doit maintenant présenter la notion de figure comme variable discursive pour expliquer finalement sur la base de quel type de grammaire discursive Jacques Geninasca approche les textes pour en offrir une analyse qui décrive de façon raisonnée l’acte énonciatif implicite qu’on peut présupposer à partir de ce texte-objet.

Notes sur le genre épistolaire – M. Makhloufi et A. Pénicaud

Lors de la préparation du colloque sur « Les Lettres dans la Bible et la Littérature » du mois de juillet 1996, l’équipe du CADIR-Lyon a travaillé à formuler quelques remarques susceptibles d’introduire à une définition d’un « genre épistolaire ». C’est le compte rendu de ce travail que présentent ici Mustapha MAKHLOUFI et Anne PENICAUD (CADIR-Lyon).

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